Craignant que les droits des femmes ne soient exclus de la nouvelle Charte canadienne des droits et libertés proposée, 1 300 femmes se rassemblent et exercent des pressions auprès de leurs députés au Parlement.
Cette intervention se traduit par l’inclusion des droits des femmes dans la Constitution canadienne.
La Loi constitutionnelle de 1982 stipule que les droits ancestraux ou issus de traités « sont garantis également aux personnes des deux sexes ».
Députée NPD de la circonscription de Vancouver-Est, Margaret Mitchell fait l’objet de railleries à la Chambre des communes lorsqu’elle soulève la question de la violence faite aux femmes.
Les protestations des femmes attirent l’attention du public canadien sur cette question.
L’envergure des lois sur le viol est élargie pour inclure l’agression sexuelle;
pour la première fois, cela est considéré un acte criminel qu’un homme viole sa femme.
En Ontario, le procureur général demande à la police de déposer des accusations dans les cas de violence familiale.
La Loi canadienne sur les droits de la personne interdit le harcèlement sexuel dans les lieux de travail sous compétence fédérale.
1983 Harcèlement sexuel
Élection de six femmes au Conseil exécutif du Conseil du travail canadien (CTC), dans une optique de discrimination positive.
En 1971, alors qu’elle est présidente de l’Ontario Women’s Association, elle lance une contestation judiciaire pour faire éliminer la discrimination sexuelle de la Loi sur les Indiens.
La Loi finira par être changée pour permettre aux femmes autochtones qui épousent des non Indiens de conserver leur statut d’Indiennes.
La première Canadienne à parvenir au sommet du mont Everest.
Élue présidente exécutive du Congrès du travail du Canada (CTC) qui représente actuellement plus de 2,3 millions de travailleurs.
Entre à la section locale 503 des TUAC Canada en 1986, à l’âge de19 ans, en tant que commise de magasin.
En 2001, elle devient la première femme à présider une importante section locale des TUAC Canada.
Marie-Josée Lemieux décède prématurément en mars 2005, à l’âge de 40 ans.
Un certain nombre d’employés de Bell Canada déposent des plaintes ayant trait à l’absence de parité salariale.
Lors de la conférence du Conseil canadien des TUAC, il est résolu de nommer une « coordonnatrice responsable de la condition féminine ».
Première femme à siéger à la Cour suprême du Canada.
A rédigé l’un des jugements, rendus à la majorité, qui ont contribué à l’abolition de la loi canadienne sur l’avortement, laquelle était particulièrement restrictive.
Lorsqu’elle avait demandé à être admise en faculté de Droit, un professeur lui avait dit de rentrer chez elle et d’apprendre le tricot.
Le 6 décembre 1989, à l’école polytechnique Ecolab de Montréal, 14 étudiantes en génie sont assassinées par un homme qui croit régler leur compte à des féministes.
Les TUAC Canada nomment une permanente chargée des questions féminines : Sue Yates.
Création du comité consultatif du Conseil national des TUAC sur la condition féminine.
Première femme à être chef d’un Parti fédéral ayant des membres siégeant à la Chambre des communes (NPD).
Avait remporté une première élection en 1987, comme députée fédérale du Yukon.
Les femmes de 15 ans et plus représentent 52,6 % de la population active.
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