Participation de militant(e)s des TUAC au mouvement de la Journée en rose pour faire échec à l’intimidation
Toronto – 10 avril 2013 – Des militant(e)s des TUAC Canada aux quatre coins du pays se sont joints à des millions de Canadiens et de Canadiennes aujourd’hui pour dénoncer l’intimidation, la discrimination, l’homophobie et la transphobie en appuyant le mouvement de la Journée en rose de diverses manières aussi significatives qu’amusantes.
La Journée en rose a pris naissance en 2007 en réponse à l’intimidation subie par un étudiant gai pour avoir porté du rose à l’école secondaire qu’il fréquentait en Nouvelle-Écosse. Deux courageux étudiants qui ont vu l’injustice sont intervenus et ont aidé à créer le mouvement en encourageant l’école entière à porter des chemises roses en guise de solidarité.
Aujourd’hui, la Journée en rose est observée dans le monde entier.
« La Journée internationale en rose est une belle occasion pour les membres des TUAC Canada de célébrer la diversité avec les membres de leur collectivité tout en contribuant à combattre l’homophobie, la transphobie et toutes les autres formes d’intimidation », de dire le président national des TUAC Canada Wayne Hanley, fier membre du Conseil consultatif honoraire du Fonds d’Égale Canada pour les droits de la personne.
« Quand je porte ma chemise rose le 10 avril, je pense aux étudiants qui ont fait naître l’espoir, l’inspiration et la compréhension dans la noirceur de la discrimination », confie la présidente de la section locale 1000A des TUAC Canada, Pearl Sawyer, que l’on voit avec des militant(e)s de la section locale 1000 participant à la Journée en rose. « Je vous encourage à garder près du cœur leur enseignement qui invite chacun et chacune de nous à contribuer à faire de notre planète un monde meilleur par la compassion, la compréhension et l’action collective », poursuit-elle.
Pour en savoir plus long au sujet de la Journée en rose et de la manière dont vous pouvez contribuer à combattre l’intimidation, la discrimination, l’homophobie et la transphobie dans nos écoles, nos lieux de travail et nos collectivités, il suffit de se rendre sur le site www.dayofpink.org.
