Soins de santé : une première convention collective pour les membres des TUAC 1991P travaillant au Quartier St-Jean
Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec), le 6 février 2020 – Les infirmières auxiliaires, les préposé(e)s aux bénéficiaires ainsi que le personnel d’entretien de la résidence privée pour aîné(e)s Le Quartier St-Jean ont apposé leur signature sur leur tout premier contrat collectif de travail. Ce dernier a été ratifié à l’unanimité par les salariés présents à l'assemblée du 17 décembre dernier. La nouvelle convention collective de trois ans est entrée en vigueur le même jour et arrivera à échéance à la fin de l’année 2022.
Les salarié(e)s de cette résidence pour aîné(e)s autonomes ou semi-autonomes, située à Saint-Jean-sur-Richelieu, en Montérégie, sont représentés par la section locale 1991P du syndicat des Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce (les TUAC 1991P), depuis leur accréditation en date du 19 novembre 2018. Au terme de ce premier processus de négociation, quant à leurs conditions de travail, les membres du syndicat dont il s’agit là obtiennent diverses améliorations, dont les suivantes :
- L’introduction d’un mécanisme clair concernant les heures supplémentaires
- L’ajout de congés personnels
- L’introduction de primes pour le chef d’équipe ainsi que pour les quarts de soir et de nuit
- L’amélioration des horaires de travail
- Des augmentations salariales moyennes de 2,5 %
« Je tiens à féliciter les membres du comité de négociation. Voilà une conclusion favorable aux négociations pour nos membres qui, en plus de sécuriser leurs emplois, améliore leurs conditions de travail », déclare Mario Maisonneuve, président de la section locale 1991P des TUAC.
La section locale 1991P des TUAC, qui compte 6 000 membres répartis dans plus de 60 entreprises, fait partie du plus important syndicat de l’alimentation et du commerce de tout le Québec. Pour obtenir de plus amples informations à propos de celle-ci, il suffit de visiter le site Web se trouvant à l’adresse www.tuac1991p.org.
