Les TUAC bons premiers dans la syndicalisation des succursales de la SQDC
Montréal – 10 décembre 2018 – Les TUAC Canada sont fiers d’annoncer que les requêtes en accréditation pour représenter les employé(e)s des succursales de la SQDC de Rosemont et de Rimouski viennent d’être acceptées par le Tribunal administratif du travail (TAT). Ces deux nouvelles unités de négociation font des TUAC le premier syndicat à représenter les travailleurs et travailleuses du secteur émergent du cannabis au Québec. L’établissement de Rosemont a été accrédité le 7 décembre et celui de Rimouski le 26 novembre.
Les travailleurs et les travailleuses des succursales de la SQDC ont compris que c’est avec les TUAC qu’ils obtiendront un vrai rapport de force, car notre syndicat négocie les conditions de travail de tous ses membres. Le vrai rapport de force des TUAC réside également dans la négociation de conventions collectives :
- progressistes qui répondent aux besoins des travailleurs et des travailleuses;
- adaptées à la réalité des commerces de détail;
- offrant des conditions de travail optimales et l’égalité de traitement entre les différentes catégories de travailleurs;
- présentant des horaires adéquats négociés pour tous les statuts d’emploi où « flexibilité » n’est pas un synonyme de « précarité »;
- offrant des avantages sociaux favorisant la conciliation travail et vie personnelle;
- procurant des assurances collectives et des fonds de pension négociés.
Ces nouveaux syndiqué(e)s ont décidé d'unir leurs voix à celles de plus de 40 000 syndiqué(e)s des TUAC répartis dans plus de 650 commerces partout au Québec. Le président du conseil provincial des TUAC Québec, Antonio Filato, est très heureux de la décision du TAT et a très hâte de rencontrer ses nouveaux membres pour établir leur cahier de demandes. Monsieur Filato se dit prêt à entreprendre rapidement les négociations avec la partie patronale pour obtenir de bonnes conditions de travail aux employé(e)s des succursales de la SQDC. « Devenir membre des TUAC apportera à ces salarié(e)s tous les outils dont ils ont besoin pour améliorer leurs conditions de travail et faire progresser leurs revendications », conclut-il.