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Lors de la récente réunion du Conseil canadien des travailleurs de boissons gazeuses (CCTBG) qui a eu lieu à Toronto, les représentant(e)s des sections locales 175, 278W, 361W, 387W, 401, 486, 501, 832, 864, 1000A, 1288P et 1400 des TUAC Canada se sont regroupés pour former le plus grand caucus des sept organisations présentes dont les TUAC Canada, Teamsters, NAPE (Terre-Neuve), TCA, UEGDMR (Saskatchewan) et une association indépendante d’employé(e)s de Calgary.

Parmi toutes ces organisations, les TUAC Canada sont le seul syndicat dont les sections locales offrent des conventions collectives aux employé(e)s de toutes les principales entreprises de l’industrie des liqueurs douces. Ces entreprises comprennent Coca Cola, Pepsi Cola, Cott Beverages, McCain Foods et Minute Maid.

Notre représentant national Jim Wright dirigeait le caucus des TUAC Canada qui représente collectivement des membres des TUAC Canada oeuvrant dans l’industrie des liqueurs douces situés dans plus de trois douzaines d’usines d’embouteillage et d’installations d’emballage et d’entreposage de liqueurs douces réparties dans diverses régions du pays. Joe Tann de la section locale 378W des TUAC Canada siège également au comité exécutif du CCTBG.   

« Le CCTBG a pour mission de favoriser l’échange d’information concernant les négociations, les griefs et les avantages sociaux, et d’empêcher les employeurs de nous donner des renseignements     erronés », de dire le confrère Wright qui dirige également le groupe de discussion sur les liqueurs douces lors du congrès annuel de la Caisse d’indemnité nationale. Les membres de ce groupe élaborent des stratégies en vue des prochaines négociations et partagent de l’information sur des dossiers, des défis et des politiques propres à chacun des établissements.    

« Par le biais du congrès de la CIN et du Conseil, les TUAC Canada jouent un rôle important qui est de veiller à ce que les employeurs demeurent honnêtes, car nous détenons la majeure partie des conventions collectives et sommes le seul syndicat qui représente des unités de négociation dans chacune des grandes entreprises », indique le confrère Wright qui a également coordonné la récente réunion du CCTBG. 

« En fin  de compte, les employeurs de l’industrie des liqueurs douces savent qu’ils ne peuvent pas faire jouer la concurrence entre les succursales ou entre les syndicats lors de la prochaine série de négociations. »