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La réconciliation et le pilier de la reconnaissance
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La réconciliation dans le lieu de travail |
Toronto – 16 juin 2016 – La réconciliation en milieu de travail a trait à l’inclusion, l’appartenance, la dignité et le respect. Tout au long du Mois national de l’histoire des Autochtones, nous avons exploré les quatre piliers du modèle inspiré de l’initiative « Pierres de touche pour un avenir meilleur » menée par la Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières nations (SSEFPN) et les avons adaptés pour la réconciliation en milieu de travail. Le deuxième pilier de la réconciliation concerne la reconnaissance.
Dans le contexte de la réconciliation, le pilier de la reconnaissance a trait à une prise de conscience qui invite chacun à s’enrichir du passé de l’autre et à reconnaître la nécessité d’adopter une nouvelle vision pour parvenir à concilier nos différences. La reconnaissance, c’est l’affirmation de l’interrelation qui existe entre les principes d’inclusion et la compréhension de la diversité de nos effectifs, c’est-à-dire l’affirmation que les valeurs auxquelles tiennent différents groupes présents dans un milieu de travail méritent le respect et la dignité.
Principes directeurs de la réconciliation en milieu de travail :
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Importance d’apprendre comment s’appelle la région où l’on vit et travaille (Respect de l’autonomie).
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Moyens d’aider les compagnes et les compagnons de travail à satisfaire tous leurs besoins : chez les nations autochtones, on apprend un mode de vie et non une discipline précise. Le cercle d’influences représente différents aspects d’une personne (Perspective globaliste).
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Respect mutuel entre gens de cultures différentes : respect des traditions d’autrui (Culture et langue).