Adhérer au syndicat

LA FORCE DU NOMBRE

Les TUAC Canada, qui constituent le syndicat de travailleuses et travailleurs du grand domaine du cannabis le plus important, représentent les membres du personnel de magasins de vente de produits du cannabis au détail situés un peu partout au Québec.

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Parmi ses membres, l’organisation syndicale compte aussi des milliers de travailleuses et travailleurs de ce grand domaine d’activité économique aux États-Unis, ce qui leur permet de bénéficier de la protection que, sous diverses formes, la convention collective leur assure et d’une excellente rémunération horaire. Par exemple, chez Minnesota Medical Solutions, fournisseur de cannabis thérapeutique, les salarié(e)s représentés par les TUAC qui en font la culture gagnent de 33 $ à 40 $ l’heure. Quant aux syndiqué(e)s chargés de l’extraction de l’huile de la plante, leur salaire horaire va de 32 $ à 37 $. Également, chez Natural RX, en Oregon, les élagueuses et les élagueurs de cannabis disposent de la garantie d’une rémunération allant de 23 $ à 32 $ l’heure. En ce qui concerne les salarié(e)s qui y font la culture de la plante, ils reçoivent un salaire qui est d’au moins 32 $ et d’au plus 48 $ l’heure. Et tout cela, c’est effectivement grâce à une convention collective que leur ont fait obtenir les TUAC.

Les membres des TUAC qui travaillent dans le grand domaine du cannabis ont précisément et respectivement pour lieux de travail des installations de culture, des boutiques à cannabis thérapeutique, des établissements à préparation de pâtisseries au cannabis et des magasins à produits de culture hydroponique. En réussissant à négocier avec l’employeur un vrai contrat collectif de travail, ils ont obtenu un régime d’assurance-maladie dont les coûts sont assumés par celui-ci, la possibilité de cotiser à un régime de retraite, des améliorations en matière de santé et de sécurité au travail, une garantie solide en fait de sécurité d’emploi et l’assurance de hausses salariales annuelles.

Un peu partout aux États-Unis, depuis bien des années, la croissance des TUAC au point de vue de l’effectif en membres suit l’essor du grand domaine du cannabis tant et si bien que l’organisation syndicale y compte un nombre de membres considérable dans chacun des sept États de ce pays où l’on en a légalisé la production, la vente et la distribution. Actuellement, dans tous ces établissements, les travailleuses et les travailleurs qui font partie du syndicat bénéficient d’avantages remarquables au travail, dont les suivants :

  • Un régime de retraite à prestations déterminées
  • Un régime d’assurance-maladie dont les coûts sont entièrement assumés par l’employeur
  • Une police d’assurance-vie, le droit à l’arrêt de travail pour cause médicale, des congés personnels et des jours de congé rémunéré
  • Des hausses de la paie ordinaire tenant compte de l’expérience, de la compétence et du nombre d’années de service
Tandis que, depuis quelques années, dans quelques-uns des États qui font partie des États-Unis, le grand domaine du cannabis connaît un essor extraordinaire, la rémunération et les avantages sociaux qu’on peut obtenir en faisant partie d’un syndicat constituent désormais ce dont, dans ce pays, toute ou tout salarié(e) qui travaille dans l’un de ses secteurs ou un autre estime être en droit de bénéficier. Pendant ce temps, au Canada, pays qui est actuellement en voie de devenir le plus grand producteur et distributeur de cannabis du monde, on prévoit qu’il y a plus de 150 000 emplois qui seront créés dans ce grand domaine d’activité économique. Il s’ensuit que les salaires qu’on a déjà réussi à faire obtenir aux travailleuses et travailleurs syndiqués en concluant en leur nom et dans leur intérêt une convention collective devraient représenter le minimum en matière de rémunération et d’avantages sociaux pour les salarié(e)s du grand domaine du cannabis au Canada en général. De plus, il serait tout à fait normal que, dans un ensemble de secteurs d’activité économique aussi lucratifs que ceux-là, les travailleuses et les travailleurs puissent bénéficier d’un régime de retraite à prestations déterminées et d’une assurance-maladie dont les coûts soient entièrement assumés par l’employeur. En deux mots, il est du devoir des propriétaires d’entreprises de culture, production, distribution ou vente du cannabis de veiller à ce que leurs salarié(e)s soient bien payés, disposent d’un bon régime d’avantages sociaux et bénéficient de la sécurité d’emploi. Ce grand domaine d’activité économique étant promis à une prospérité fabuleuse grâce à la légalisation des produits de la plante en question, les salarié(e)s qui y travaillent et les autres membres de leurs familles respectives ont le droit de participer aussi à ses éventuels bénéfices extraordinaires.

Si j’adhère aux TUAC Canada, qu’est-ce que j’en tirerai?

La protection contre l’éventualité d’un renvoi injuste

En disposant de la protection contre l’éventualité d’un renvoi injuste, on bénéficie aussi de la sécurité d’emploi : on ne peut subir le renvoi ni se voir infliger une autre sanction sans l’avoir effectivement mérité. Il s’agit là de l’une des formes les plus importantes que revêt la protection assurée par les TUAC Canada à leurs membres.

Or, quant aux salarié(e)s qui ne bénéficient pas de la protection d’une organisation syndicale, ils peuvent être renvoyés ou autrement pénalisés à tout moment, livrés qu’ils sont ainsi à la merci de l’employeur.

Une rémunération et une prime d’heures supplémentaires améliorées

Grosso modo, par rapport aux salarié(e)s non syndiqués faisant le même travail et ayant un emploi dans le même domaine qu’eux, les membres des TUAC Canada qui travaillent dans les secteurs dépendant du cannabis gagnent un salaire accru de 30 %. Également, chaque fois qu’ils font plus de huit heures de travail au cours de la journée ou plus de quarante heures de travail pendant la semaine, ces salarié(e)s syndiqués reçoivent une prime d’heures supplémentaires. De même, ils touchent aussi une prime spéciale quand ils travaillent de nuit ou qu’ils font un quart de travail de soir. En outre, comme tout autre membre des TUAC, ils sont payés pour les jours fériés!

Un nombre accru de jours de congé rémunéré et de journées de congé de maladie payé

Au cours de l’année, les membres des TUAC Canada peuvent avoir jusqu’à six semaines de vacances rémunérées tandis qu’en moyenne, pour leur part, les salarié(e)s non syndiqués doivent s’en contenter de deux semaines.

De même, en moyenne, les membres des TUAC Canada disposent de six, sept ou huit journées de congé de maladie payé par année et, au cours de la même période, ils ont droit à jusqu’à cinq jours de congé de deuil.

Un régime de retraite et un régime d’avantages sociaux

Tout membre des TUAC Canada a la possibilité de s’inscrire au régime de retraite proposé par l’organisation syndicale, c’est-à-dire l’un des régimes de retraite à employeurs multiples les plus importants au Canada. Par voie de négociations, l’organisation syndicale est en mesure de lui faire obtenir un REER (régime enregistré d’épargne-retraite) auquel on cotise dans une mesure équivalente à la sienne et d’autres avantages sociaux, ce qui, à partir de son départ à la retraite, lui permet de bénéficier à la fois du régime de retraite en question et du Régime de pensions du Canada.

De plus, ainsi que les gens de sa famille, tout membre des TUAC Canada est inscrit à un régime d’assurance pour les médicaments sur ordonnance, les soins dentaires et les soins de la vue. Également, les membres de l’organisation syndicale se voient accorder des rabais sur le coût de diverses choses telles que l’assurance-habitation, l’assurance-vie, les voyages, la location d’un véhicule, les services juridiques et les téléphones cellulaires.

L’absence de tout harcèlement en milieu de travail

En vertu de toute convention collective que les TUAC Canada font obtenir à leurs membres, ceux-ci bénéficient de la garantie comme quoi on veille à ce que leur milieu de travail soit exempt de harcèlement, de violences sexuelles, de racisme et de tout autre fléau de cet ordre, et ce, que ce soit l’employeur, un membre de l’équipe de direction de l’établissement ou un autre membre du personnel qui s’en rend éventuellement coupable.

Une formation en matière de santé et de sécurité au travail

Quand il s’agit de la santé et de la sécurité au travail, tout membre des TUAC Canada est en mesure de s’exprimer au grand jour sans devoir craindre d’en perdre son emploi. En étant au courant des droits qu’ils ont, les travailleuses et les travailleurs possèdent les connaissances dont ils ont besoin pour veiller à améliorer la qualité de la vie qu’ils mènent.

Pour en savoir plus long sur les cours destinés aux membres de l’organisation syndicale en matière de santé et de sécurité au travail, il suffit d’aller visiter le site Web du webCampusPLUS (pour l’instant, site Web en anglais seulement) des TUAC Canada.


Comment faut-il s’y prendre pour devenir membre de l’organisation syndicale?

Adhérer aux TUAC Canada, c’est simple et facile.

Si la possibilité de vous joindre à cette organisation syndicale vous intéresse, envoyez-nous un TEXTO ou également nous APPELER en composant sans frais le 1 866 977-0772.

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