Heureuse issue des négociations pour les membres des TUAC 500 du Metro Bruyère

Montréal – 17 février 2018 – La section locale 500 des Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce (TUAC) est heureuse d'annoncer que le comité de négociation est parvenu à une entente de six ans au Metro Bruyère. À la suite d'un vote tenu en assemblée générale, la centaine de travailleurs et de travailleuses de ce supermarché de la rue Sainte-Catherine à Montréal ont ratifié leur nouveau contrat de travail qui viendra à échéance en 2023.

Membres de la section locale 500 des TUAC depuis 1991, les salarié(e)s de cet ancien magasin Steinberg peuvent s’appuyer sur une convention collective à maturité. Outre le maintien des nombreux acquis qui sont venus bonifier leurs conditions de travail au fil des ans, le nouveau contrat de travail procure aux salariés en progression des augmentations de salaire de 2 % aux 650 heures travaillées. De plus, lorsque survient une augmentation du salaire minimum, les salarié(e)s au début de la progression salariale recevront une augmentation allant entre 0,25 $ et 2,50 $ l’heure travaillée selon leur classification. Les salarié(e)s au taux maximum des échelles reçoivent quant à eux une combinaison hybride d’augmentations de salaire et de montant forfaitaire selon la classification.

Parmi les autres gains officialisés dans cette nouvelle convention collective, mentionnons également l’ajout de six postes de salarié(e)s réguliers à 39 heures et de cinq postes de salarié(e)s réguliers à 32-39 heures. Les personnes occupant ces onze nouveaux postes obtiennent également la continuité de salaire lors de la prise de congés occasionnels.

À cela s’ajoutent les conditions suivantes :

Au terme du processus de négociation, le président de la section locale 500 des TUAC, Antonio Filato, se dit très heureux de l’issue de cette ronde de négociation qui s’est déroulée dans un esprit d’ouverture et de collaboration. « Les travailleurs et les travailleuses de ce marché d’alimentation ont toutes les raisons d’être fiers de cette nouvelle convention collective qui permet de consolider la centaine d’emplois actuels tout en maintenant un niveau de conditions de travail décent dans le secteur de l’alimentation pour les six prochaines années. »