Des militant(e)s des TUAC Canada se joignent à un réseau mondial à l’occasion de la conférence sur la migration
Mexico (Mexique) – 29 septembre 2015 – Les TUAC Canada se sont récemment joints à 17 autres organisations de la société civile et de défense de la justice sociale à l’occasion d’une conférence régionale organisée à Mexico par le Red de la Sociedad Civil de Migración y Desarrollo (le réseau de la société civile pour la migration et le développement). Ce réseau relie les défenseurs des migrants du monde entier en vue de promouvoir des politiques qui favorisent le mieux-être et la protection de l’ensemble des migrants et des communautés de migrants.
La conférence s’est déroulée sous le thème Migration en Amérique : renforcer la voix des défenseurs des migrants. Des militant(e)s des TUAC Canada ont pris part à la conférence aux côtés de 70 autres militant(e)s représentant diverses organisations dont le Red Internacional de Migración y Desarrollo, ou RIMD (réseau international de migration et de développement), le Centro de Estudios Legales y Sociales, ou CELS (centre d’études juridiques et sociales), la Comisión de Apoyo a Refugiados y Migrantes-CAREF (commission pour les réfugiés et les migrants), l’Universidad Nacional de Lanus, ou UNLA (université national de Lanus) et le Centro de Derechos Humanos Fray Matías de Córdova (centre des droits de l’homme Fray Matías de Córdova).
La réunion du réseau MADE, à laquelle les TUAC Canada participaient pour la toute première fois, représentait pour le syndicat une occasion exceptionnelle d’échanger sur les rapports qui existent entre les droits ouvriers et les droits de la personne des travailleurs migrants.
Lors de la conférence, des perspectives et des enjeux communs ont été présentés dans le but de définir les processus régionaux et mondiaux qui présentent un intérêt majeur et d’élaborer de véritables stratégies politiques. En plus de faire des échanges de vues sur diverses questions comme les racines de la migration, la régularisation et l’inclusion, l’enfance et le genre, les participants ont œuvré à définir les traits qu’ils ont en commun, les problèmes structurels qu’ils rencontrent et les façons dont ils peuvent solutionner les problèmes universels auxquels font face les travailleuses et travailleurs migrants.