De nouveaux messages publicitaires donnent une impulsion à la campagne de justice sociale du CTC


Toronto – 27 novembre 2014 – La campagne « Être juste » (anciennement« Ensemble pour un monde plus juste ») poursuit son cours en diffusant de nouveaux messages publicitaires qui continuent de mettre l’accent sur les effets positifs des syndicats dans la vie de la population canadienne.

On a lancé le premier volet de la campagne l’an dernier grâce aux efforts d’envergure déployés par les TUAC Canada et les actions concertées d’autres syndicats affiliés du CTC qui ont prêté leur appui. La campagne novatrice a été conçue précisément dans le but de faire échec aux gouvernements et aux hommes et femmes politiques anti-travailleurs et d’occasionner leur défaite aux élections à venir, y compris celle du gouvernement Harper en 2015 pour le remplacer par un gouvernement qui croit en la justice.

Depuis le début de la campagne, des sondages ont permis d’établir que la combinaison de publicité imprimée et dans les médias sociaux, ainsi que des annonces télévisées, a eu une incidence positive sur l’attitude du public en général à l’endroit des syndicats et du mouvement syndical. La nouvelle étape de la campagne tire profit de cette dynamique, alors que les TUAC Canada continuent de travailler de concert avec leurs alliés syndicaux et communautaires pour faire passer le message qu’il est possible d’Être juste quand la solidarité est au rendez-vous.

 « La campagne a été bien accueillie partout au pays, créant une voix pour des millions de Canadiennes et de Canadiens qui veulent des changements constructifs et la justice pour les petits salarié(e)s », de dire le président national des TUAC Canada, Paul Meinema. « Les travailleuses et travailleurs se lèvent pour réclamer la justice et le respect que tous les salarié(e)s méritent. En tant que l’un des principaux syndicats du Canada, nous sommes fiers de les appuyer dans leur lutte visant à procurer un avenir plus juste à tous les Canadiens et les Canadiennes », poursuit le confrère Meinema.