Les TUAC Canada participent au congrès inaugural de Migrante Canada

Les TUAC Canada ont fièrement participé au congrès inaugural de Migrante Canada les 20 et 21 novembre 2010 à Ottawa.

Seize organisations canadiennes de migrantes et de migrants philippins se sont réunis pour participer au congrès sous le mot d'ordre : Faire avancer le combat pour des changements véritables : La lutte pour les droits et le bien-être des migrantes et migrants philippins et de leurs familles.

Des délégués et observateurs de l'Alberta, de la Colombie-Britannique, du Manitoba, des Maritimes, du Québec et de l'Ontario ont approuvé et ratifié la constitution et les règlements internes de Migrante Canada, ont adopté un plan d'action sur deux ans et ont unifié leur position, leurs critiques et leurs recommandations relativement au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTÉT) du Canada.

Alex Banaag, représentant national des TUAC Canada, a assisté au congrès à titre d'observateur, a livré un message de solidarité et a participé aux discussions sur le statut des travailleurs temporaires philippins au Canada.

Alex souligne comment les TUAC Canada et l'Alliance des travailleurs agricoles (ATA) luttent pour les droits de tous les travailleurs temporaires étrangers au Canada — et notamment pour la création d'une filière menant à la résidence permanente et à la citoyenneté pour tous les travailleurs qui entrent au Canada. En outre, à titre d'allié communautaire de l'organisation, les TUAC Canada offrent aussi aux membres de Migrante Canada l'accès gratuit au webCampus, le programme de formation en ligne des TUAC Canada.

 

« Nous félicitons Migrante Canada à l’occasion de leur congrès inaugural », de dire le président national de TUAC Canada Wayne Hanley. « Nous sommes enchantés de maintenir notre engagement et de poursuivre nos efforts pour la défense des travailleurs étrangers temporaires au Canada. Si une personne est assez bonne pour travailler au Canada, elle est certainement assez bonne pour y demeurer. La possibilité d'adhérer à un syndicat et d'obtenir la résidence permanente est un élément essentiel pour arriver à résoudre la crise que les règles draconiennes du PTÉT ont créée pour bon nombre d'entre eux. »