L’ATA en bref

Bradford agriculture workers in the field

Les travailleurs agricoles stimulés grâce aux TUAC Canada

Les TUAC Canada sont les alliés et les défenseurs des travailleurs agricoles ainsi que les champions de leur cause au Canada depuis 1980, ce qui leur a permis de mener avec succès des campagnes en faveur de la justice pour certains de ceux qui sont les plus exploités au Canada, de la consolidation de leurs droits et de l’amélioration de la sécurité dans leur lieu de travail tout en leur permettant de s’y faire entendre.

De plus, aujourd’hui, les TUAC Canada représentent tant les travailleurs agricoles canadiens que les migrants ayant une convention collective en vigueur avec des employeurs de la Colombie-Britannique, du Manitoba et du Québec. Il s’agit de conventions collectives solides qui protègent le droit des travailleurs temporaires et ceux du pays à retourner au travail l’année suivante eu égard àgt leurs années de service.

En collaboration avec l’Alliance des travailleurs agricoles (ATA), les TUAC Canada dirigent également la plus importante association de travailleurs agricoles au Canada et un réseau de dix centres d’aide dans l’ensemble du Canada, où les droits de tous les travailleurs agricoles passent avant tout – peu importe d’où ils viennent.

Depuis l’ouverture du premier centre en 1992, les TUAC Canada et l’ATA ont aidé littéralement des dizaines de milliers de travailleurs agricoles à lutter contre des employeurs méprisants et des conditions de travail et de logement dangereuses, à obtenir des traitements médicaux et à présenter des demandes d’indemnisation d’accident du travail, à obtenir des prestations parentales et de la formation en santé et sécurité, et ils ont défendu le droit des travailleurs agricoles de former un syndicat.

Les interventions des TUAC Canada et de l’ATA ont aussi mené à :

« Les travailleurs agricoles ont les mêmes droits que tous les autres travailleurs au Canada », a déclaré Paul Meinema, président national des TUAC Canada. « Nous défendons ces travailleurs depuis le début et nous continuerons à lutter dans leur intérêt jusqu’à ce l’on reconnaisse leurs droits, que leurs lieux de travail soient sécuritaires et que l’on respecte le travail ardu et dangereux qu’ils exécutent tout en le rémunérant équitablement. »